L'ALUMINIUM DANS LES VACCINS

LES VACCINS

 L'ATC, a rédigé l'analyse du dernier ouvrage du Docteur Romain GHÉRARDI : « TOXIC-STORY ».images

Rares sont les ouvrages, concernant les effets néfastes des Produits chimiques, qui peuvent se lire comme un roman ... et de plus, pas n’importe quel roman !
En effet, ce récit passionnant est celui d’un lanceur d’alerte passionné, médecin de surcroît et qui se bat courageusement, presque seul, contre le puissant lobby pharmaceutique. Il y a déjà quelques décennies, lorsque commençait la triste saga de l’Amiante, j’ai rencontré Romain GHÉRARDI qui, à l’époque, travaillait à l’hôpital Henri Mondor de Créteil avec notre ami, Patrick  BROCHARD qui, durant de nombreuses années,  intervenait dans notre Formation sur l’impact des Produits chimiques minéraux, au niveau du Tractus respiratoire. Romain GHÉRARDI, spécialisé en pathologie neuromusculaire, était encore loin de « Toxic Story », qui vient de paraître aux éditions Actes Sud (Paris) 1.


C’est la récente histoire de l’Aluminium (Al), actuellement un classique adjuvant de la plupart des vaccins en France. L’aventure commence un matin de décembre 1993, avec la découverte chez une infirmière bordelaise, d’une lésion musculaire très invalidante, accompagnée d’une grande fatigue.

En microscopie électronique, on observe entre les fibres musculaires restées intactes, des amas de macrophages, des cellules d’une lignée blanche (des monocytes) et qui ont quitté le sang pour combattre, en tant que cellules phagocytaires, les agressions dont notre organisme peut être la victime. Fait étrange, après coloration, le cytoplasme bleu de ces macrophages est rempli de petites granules colorées en rose par un réactif des Sucres, l’Acide périodique-Schiff.


Romain GHÉRARDI, propose de nommer cette étrange pathologie la « Myofasciite à macrophages » (MFM), car elle correspond à une inflammation de la membrane protectrice du muscle, dénommée : le fascia (d’où la Myofasciite, liée à une prolifération des macrophages), ce qui va déclencher le processus inflammatoire. Une fois le diagnostic posé, le nombre de patients touchés par la MFM ne cessera d’augmenter : 12 en 1998, 52 en 2000, et actuellement (en moyenne) un cas par semaine... et cela ne semble pas s’arrêter !

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